Dans une perspective psychanalytique, que pourrait vouloir dire « je est un autre »? Tout sujet se construit à partir d’une relation avec un autre (la mère ou son substitut) qui, au début de la vie, est vécu comme même que soi. Le problème n’est donc pas d’emblée celui de l’accord, voire de la réciprocité, entre moi et l’autre, posés comme des entités allant de soi . Le premier problème est celui de leur progressive différenciation, à partir d’une expérience fondatrice d’entière confusion moi/autre, où les liens ont été éprouvés comme liens de dépendance passive et de besoin, engendrant inévitablement la haine et l’envie. La question devient alors : comment se séparer de cet autre confondu avec soi, sans pour autant le perdre et se perdre avec ? En effet, comment transformer le lien à un « autre- même que soi », en un lien à un « autre » qui peu à peu devenant vraiment autre, me donne en retour de me renouveler moi-même dans une altérité toujours à venir ?
Pour essayer de comprendre pourquoi cette construction de l’autre et de soi est si difficile et si aléatoire, l'auteur propose un détour par ce qui se passe entre une mère et son enfant à l’orée de la vie.
Le cycle freudo-khaldounien commence par une situation bloquée, non modifiable, suivie par une migration et une longue errance. La suspension de la dévoration d’un animal totémique durant cette errance permet la naissance du dieu totémique et, par la suite, du dieu unique. L’errance s’achève par le meurtre fortuit du père, la dévoration égoïste de l’animal totémique, la conquête de la ville et l’instauration de la loi civile. C’est le début de la deuxième phase du cycle où la loi symbolique devient petit à petit mimétique et engendre un impératif d’uniformité. Quelques éléments résistent à cet impératif et se cristallisent dans une exterritorialité. C’est la fin du cycle. Les éléments résistants à l’uniformité vont finir par partir, initiant ainsi un nouveau cycle. La différence ou le passage entre le mythe d’Osiris et le mythe de Moïse représente anthropologiquement la deuxième partie du cycle. L’intervalle entre les deux mythes étant plus de nature sociologique.
La religion a d'une façon générale contribué à l'amélioration de l'humanité mais elle a aussi donné lieu à des atrocités contre l'humanité même. Pourquoi ?
La réponse de Jones (New York 2002. Terreur et transformation. L'ambiguïté de la religion selon la perspective psychanalytique) est dans les facteurs psychologiques de l'adepte, qui qualifient comme mûrant ou pathologique l'expérience religieuse.
Que nous avons commencé du concept de violence et de cette première approche nous avons considéré le sens suffisant et restreint de le même. La CONDUITE VIOLENTE est synonyme de l'autorité d'abus, dès qu'elle sera employée pour endommager une autre personne que nous avons intégré le même à la fin de la violence familière sous ses formes différentes de manière schématique. Nous nous sommes concentrés dans la violence exercée dans les enfants, pour lesquels nous avons décrit un petit examen historique de mistreat de I ils.
L’idée que se font les Chrétiens de la violence est empreinte, dans une mesure non négligeable, par la Révélation de Jean, son «Apocalypse». Apocalyptique est devenu carrément un synonyme d’une violence terrible, destructrice.
L'un des éléments récurrents à ces récits reste la violence : violence subie, violence prônée, violence suggérée, violence condamnée, violence bannie.
Cette violence, nous la définirons comme l'agression à l'égard de l'homme, agression d’abord contre sa vie, contre son corps, mais aussi contre ses biens ou contre son honneur.
- Le guide religieux s'adresse à la collectivité sans oublier l'individu.
- Le rapport individu -institution présente une violence implicite.
- La religion, à travers le dogme, est-ce qu'il nie la pluralité identitaire de chacun de nous (fruit d'identifications différentes) ?
- La vérité est le croisement de pensées, croisement vers lequel le désir humain tend : le réponses "dogmatiques" sont des mutilations ?
Una ricerca storica sulla predicazione pastorale ed un’indagine tecnica sulle forme del comunicare per il superamento degli steccati religiosi e la conquista degli spazi della fratellanza.
Una predica fatta al momento giusto e con gli argomenti che riescano a cogliere l’attualità dei riferimenti religiosi può riuscire a modificare certi atteggiamenti egoistici e di chiusura verso la comunità proprio perché riesce a costruire un ponte comunicativo con l’ascoltatore che, pur senza instaurare un dialogo esplicito, trova nella sua intimità le ragioni della risposta.
Si affrontano le problematiche connesse al setting, gli aspetti del riduzionismo psicoanalitico, la terapia analitica nel contesto socio-economico attuale, dominato dal dubbio e dal “pensiero debole” e si propongono modalità vivificatrici per il buon esito del lavoro analitico al servizio della qualità della vita.
Una rilettura di Freud, Jung ed Adler relativamente alla questione “religione”. Da qui lo studio delle esperienze e dei vissuti che riguardano la vita quotidiana dell’uomo. Anche la religiosità (pur restando la religione irriducibile ai limiti di una scienza sperimentale) è, in quanto “vissuto” e comportamento umano, tra gli “oggetti” della psicologia. E la psicoterapia, a sua volta, non può ignorare nessun comportamento o vissuto dell’uomo se vuole afferrare alla radice e “trattare” quelli devianti.