La question qui se pose d’abord à moi dans le cadre de ce Congrès est celle du pourquoi et surtout du comment interroger ou consulter la Bible à propos de la « violence fondamentale ».
Sûrement pas en prenant en premier lieu la Bible comme un corpus normatif. La Bible ne s’y prête pas comme demande de le faire le Coran, par ex., qui dès sa deuxième sourate se présente explicitement comme tel : « Voici le livre sur lequel il n’y a point de doute ; c’est la direction de ceux qui craignent le Seigneur... »
Il ne s’agit pas non plus d’entendre la Bible comme référence fondamentale du Christianisme ; ni, enfin, comme objet d’exégèse critique, même si, une fois ou l’autre, je n’hésiterai pas à faire appel à cette exigence, pour préciser le sens d’un terme ou d’une expression.
Aussi, en un premier point, je devrai m’expliquer sur la réception de la Bible en tant que corpus spécifique, avant de voir ensuite comment, en tant que corpus, elle s’affronte à la violence fondamentale, pour terminer sur l’idée de violence telle qu’elle peut ressortir d’un rapide parcours.
Je suis ni bibliste ni historien et je vais simplement parler de par mon expérience en tant que coordinateur de la Décennie Vaincre la Violence (DVV), décennie qui s’inscrit dans le cadre de la Décennie pour une culture de la paix et de la non-violence en faveur des enfants du monde. Je parle aussi de ma perspective de membre d’une église historique de la paix.
Le service pastoral offert à des étudiants universitaires nous a permis de constater des expériences vécues et des expressions très variées de la vie religieuse.
Tandis que pour un certain nombre de jeunes la vie religieuse se déroule sereinement et d’une manière fluide, entremêlée au processus de croissance humaine, pour d’autres, il s’agit d’une expérience extrêmement rigide. Transpercée par des craintes et des obsessions, elle semblerait être une expérience à rebours du développement évolutif dont elle perturbe l’élan libre et naturel, devenant ainsi un obstacle.
Ce travail essaye de souligner l’unité existante entre la nature humaine et la dimension religieuse.
Paradoxe de mettre ensemble catéchisme et liberté. Le catéchisme évoque le dogmatisme, tandis que la liberté fait appel à la responsabilité personnelle. C'est un pari.
Ce nouveau catéchisme ne prétend pas être l'énoncé figé de ce qu'il faut croire ; il constitue une expression vivante de la foi en perpetuelle mutation, déstiné à apporter joie et réconfort aux croyants.
Il contributo, partendo dallo studio epistemologico della psicologia del profondo, focalizza nell'“Ombra” junghiana la più fondamentale delle metafore riguardanti l'ambito religioso : è l'esperienza del proprio limite, della negatività, del male di cui siamo colpevoli e di quello di cui siamo vittime. Il paradosso dell'“Ombra” è che non si converte in qualche cosa di altro che non sia più ‘ombra’, ma rimane negatività pur divenendo definizione, profilo.
E' una ricerca empirica che presenta la struttura fattoriale e la consistenza interna della Mysticism Scale Research Form D (M Scale) di Hood. La nostra analisi, fatta su un campione di 200 giovani studenti siciliani, ha rilevato quattro fattori unificazione - totalità, perdita di coscienza, partecipazione cosmica, ineffabilità, lasciando l'amorosa problematica sulla multidimensionalità o unidimensionalità dell'esperienza religiosa.
Sono presentati i risultati di una ricerca condotta su 202 allievi degli ultimi due anni della secondaria superiore della provincia di Catania. Pertanto, dagli studi di Allport, si è cercato, somministrando i questionari di Hood sul Misticismo e di Hoge sulla religiosità I-E-, quest'ultimo nell'adattamento italiano fatto da ronco e Vincenti, e dopo avere condotto l'item analysis e l'analisi correlazionale tra le due variabili : misticismo e religiosità intrinseco (-I ) - estrinseca, di verificare l'ipotesi che le persone motivate intrinsecamente affermano di avere avuto più esperienze religiose di intense o mistiche che non quelle estrinsecamente motivate).
Lo studio, nel presentare studi e ricerche nel campo della psicologia della religione, si sofferma a presentare, in un contesto motivazionale - cognitivo e sociale -informativo, il costrutto del "locus of control" (Rotter), che è da intendersi come l'origine interna - esterna del controllo percepito del nostro comportamento. Si mette in evidenza che il costrutto può dare sostanziosi lumi circa i nostri atteggiamenti e comportamenti religiosi.