Depuis quelque temps l’Eglise catholique est ébranlée par une succession d’affaires en lien avec la pédophilie.
Le scandale fut particulièrement ressenti dans l’archevêché de Boston mais aussi plus proche de nous, comme récemment en Savoie ou à Sankt-Pölten (Autriche). L’occasion pour certains d’affirmer allègrement un lien de cause à effet entre célibat des prêtres et pédophilie.
Assertion infondée si l’on s’en tient aux rares études scientifiques relatives à la question et à la psychanalyse.
Alors que l’oeuvre de M. de Certeau rencontre une audience de plus en plus grande, il n’a jusqu’alors jamais été question d’un apport de sa réflexion à la pratique psychiatrique institutionnelle. La récurrence des questions ouvertes à la fin des années 1960 par l’antipsychiatrie pourrait trouver dans sa pensée un nouvel élan, non plus dans une dénonciation de l’ordre social mais dans une attention toujours plus fine aux pratiques inventives et originales des patients et des soignants. Confrontant la réflexion certalienne à celle d’autres penseurs majeurs de son époque (Foucault, Derrida), il sera question d’une lecture renouvelée des représentations qui sous-tendent la psychiatrie institutionnelle contemporaine.
Thèse : la violence est antérieure à toutes religions ; celles-ci tentent de la gérer en la « liant »
Méthodes. : nous juxtaposons psychanalyse (freudienne) et religion (catholique). Sans concordisme. Mais non sans convergences.
En 1934, cet ouvrage fut longtemps considéré comme appartenant à cette catégorie des oeuvres freudiennes que l’on qualifiait d’anthropologiques non sans quelque mépris. Jacques Lacan, dans une perspective théorique, Peter Gay, sous un angle historique et biographique, ont contribué à redonner sa place essentielle à ce livre, celle d’une réflexion sur le tragique de la condition humaine, inséparable de ces autres travaux freudiens que sont L‘avenir d’une illusion (1927), Pourquoi la guerre ? (1933), Psychologie des masses et analyse du moi (1921) mais aussi Considérations actuelles sur la guerre et sur la mort (1915). Aujourd’hui, répondant aux attentes d’un déchiffrage des ressorts cachés de l’actualité politique, les psychanalystes, mais aussi les philosophes se réfèrent fréquemment au Malaise dans la culture pour en souligner la pertinence maintenue.
Dans les passages Q’raniques relatant cette histoire qui met en scène le premier meurtre, la victime et son meurtre ne sont pas nommés, pour tout simplement expliciter que le désir de tuer est lié au fait même d’être un Etre humain. Et que chacun de nous port en lui 2 pôles dissemblables qui rappellent Abel et Caïn.
Spesso nei disturbi alimentari dell’infanzia si può risalire al periodo dello svezzamento, prima grande esperienza di separazione della madre e del/la bambino/a, che si trovano di fronte ad un “lutto” da elaborare. Perdita che trova il più delle volte il piccolo individuo non disponibile per la fusione degli impulsi libidici ed aggressivi, e che nella madre slatentizza l’ambivalenza negata nei confronti del proprio bambino/a (in realtà, nei confronti dei propri oggetti interni genitoriali). Il/la piccolo/a, divenuto/a il contenitore privilegiato di tale ambivalenza, attiva meccanismi di controllo onnipotente sia sulle inevitabili proiezioni persecutorie genitoriali che sui propri impulsi distruttivi, attraverso il rifiuto o un’importante selettività del cibo.
La diagnosi, come conoscenza attraverso (diá), condotta secondo l’ottica psicodinamica costituisce spesso, in età evolutiva, un atto anche terapeutico, sia che ad essa segua un trattamento psicoterapico, sia che si configuri come la sola esperienza possibile per quel bambino ed i suoi genitori, per condizioni interne o esterne
Ciò perché, se fondata su consolidate base teoriche e sulla capacità di integrare empaticamente il proprio transfert e controtransfert attraverso l’immedesimazione, si pone quale barriera ad un processo di sviluppo anomalo, al fine di riorganizzare nascoste energie interne e di attivare una modifica delle dinamche profonde, verso un più adeguato cammino di crescita.
Nel “cosa dire” e “come dire”, cioè nella “restituzione” ai genitori e al bambino, si concentra tutta l’intensità emotiva realizzata nelle fasi precedenti : allora è più facile accedere all’insight e quindi, perché, capiti e riconosciuti, genitori e bambino sono più disponibili ad accettare una qualche trasformazione del proprio Sé.
Nel cosa dire e nel come dire si gioca in qualche modo il futuro destino di un piccolo paziente e forse anche della sua famiglia.
Sous le titre "Croire, une vocation ", nous voyons quel est le désir qui déplace à la recherche de Dieu. Je me suis ensuite proposé de présenter les "sectas" ou les "nouveaux mouvements religieux", en faisant une brève description du sujet, en développant ensuite ce concept et l'orientation qui a actuellement le sujet. Finalement développement comment, en négligeant l'Amour, la Vérité et la Liberté, on produit la violence et les conséquences que ceci apporte et ses caractéristiques. Comme conclusion je présente le changement et l'ouverture qui a produit dans la ma la préparation de ce travail.
Dans une perspective psychanalytique, que pourrait vouloir dire « je est un autre »? Tout sujet se construit à partir d’une relation avec un autre (la mère ou son substitut) qui, au début de la vie, est vécu comme même que soi. Le problème n’est donc pas d’emblée celui de l’accord, voire de la réciprocité, entre moi et l’autre, posés comme des entités allant de soi . Le premier problème est celui de leur progressive différenciation, à partir d’une expérience fondatrice d’entière confusion moi/autre, où les liens ont été éprouvés comme liens de dépendance passive et de besoin, engendrant inévitablement la haine et l’envie. La question devient alors : comment se séparer de cet autre confondu avec soi, sans pour autant le perdre et se perdre avec ? En effet, comment transformer le lien à un « autre- même que soi », en un lien à un « autre » qui peu à peu devenant vraiment autre, me donne en retour de me renouveler moi-même dans une altérité toujours à venir ?
Pour essayer de comprendre pourquoi cette construction de l’autre et de soi est si difficile et si aléatoire, l'auteur propose un détour par ce qui se passe entre une mère et son enfant à l’orée de la vie.