Le titre de cet exposé fait le lien entre 3 aspects importants de l'expérience humaine : biologie, genre et religion. Ce titre cache une 4ème dimension : le sexe. Il faut expliquer clairement pourquoi je n'ai pas explicitée cette 4ème dimension ; c'est à cause de ce que cela peut représenter dans un auditoire familiarisé avec les termes freudiens, étant donné que j'imagine que toute tentative (évidemment inconsciente) de cacher cette 4ème dimension peut laisser sous-entendre des propos truculents. De toute façon, ni ceux qui ont choisi le titre ni celui qui essaie de le développer ne sont animés d'intentions dissimulatrices. D'autre part, quand un biologiste parle de genre, il pense évidemment à sexe et c'est mon cas. C'est pourquoi cet exposé va mélanger 4 concepts, à savoir : biologie, sexe, genre et religion auxquels on ajoute deux autres concepts intimement liés : cerveau et conscience.
Questo è uno dei numerosi lavori prodotti dal gruppo di Biomagnetismo di Roma dedicati alla dimostrazione delle ottime possibilità di localizzazione delle attività neurologiche nel campo dei segnali somatosensoriali. La precisione geometrica tridimensionale della localizzazione dei segnali è sicuramente superiore a quella fornita dalle misurazioni elettriche ed inoltre permette di seguire l’evoluzione temporale del segnale con una risoluzione di pochi millisecondi.
Questo lavoro è rivolto alla dimostrazione delle interessanti applicazioni del Biomagnetismo nel campo neurofisiologico. Si mostra come sia possibile, con questa metodologia, ricostruire l’ “homunculus somatosensoriale”, che era stato scoperto con misure elettriche invasive, a cranio aperto, in modo, invece, totalmente non invasivo.
Viene illustrato brevemente il metodo scientifico dovuto principalmente a Galileo e a Newton e, attraverso un excursus storico si esaminano alcuni periodi critici dell’evoluzione della scienza moderna nei quali e’ stata scossa la sua certezza, ma che si sono risolti sempre in favore di questo metodo che fornisce una valida interpretazione della natura. Dove la discussione porta invece a problematiche piu’ delicate e’ l’utilizzazione della scienza, cioe’ la tecnica, che certamente mostra la necessita’ di essere moralmente limitata.
Il lavoro descrive una metodologia di misura dei campi magnetici prodotti dalle correnti ioniche inter- e intra-cellulari in alcuni organi del corpo e che sono correlati ai ben noti campi elettrici, da molto tempo studiati, per indagini in campo fisiologico e patologico. I campi piu’ sviluppati sono il cardiomagnetismo e ancor piu’ il neuromagnetismo che sono di grande interesse nel fornire informazioni complementari a quelle di origine elettrica. Si fa il punto sulla situazione attuale di questo nuovo metodo di indagine medica.
Le point sur trois courants actuels de l’étude de la subjectivité féminine.
Les concepts de processus primaire chez Freud et du Réel chez Lacan sont des notions difficiles à appréhender. La difficulté devient même insurmontable lorsqu’on cherche à les relier aux phénomènes cliniques qu’ils sont censés représenter. Rebondissant sur des articles d’un numéro récent de Psychothérapies, il sera question d’apporter un éclairage différent sur ces notions, en les rapprochant des analyses de M. de Certeau sur un phénomène de possession au XVIIe siècle. Cette échappée historique permettrait également de réinterroger une clinique difficile, celle du traumatisme.
Notes de lecture de Richard Querinjean
L’auteur part de la lecture d’un article de Janine Puget (2004) dans lequel elle évoque un remaniement de la métapsychologie qui débouche sur un principe d’incertitude de la relation thérapeutique. On ne peut prévoir que l’imprévisibilité. L’auteur retrouve un de ses auteurs fétiches, Michel de Certeau, qui a écrit un livre sur la Possession de Loudun (1970). Selon ce dernier, historien : « L’histoire n’est jamais sûre : où sont nos diables ? ». On peut se risquer à quelques rapprochements. L’auteur débouche alors sur une autre confrontation déconcertante, celle du thérapeute à sa propre folie. On peut apparenter la rencontre de Surin et de Jeanne des Anges à une relation thérapeutique et à ses alea. Surin a été malade pendant 18 ans après l’exorcisme de Marie des Anges, alors que la religieuse a été « guérie ». L’auteur compare, mutatis mutandis, cette intervention de Surin et ses effets néfastes pour lui aux moments de dépossession de soi que peut connaître le thérapeute face à un patient psychotique ou traumatisé (par le biais d’une identification projective par exemple). Un passage particulièrement intéressant de cet article approche la problématique de l’indicible (processus primaire) dans la relation thérapeutique des grand « malades ». La prise en compte de cette expérience troublante de dépossession ne peut avoir comme résultat de cantonner le thérapeute dans une attitude psychanalytique pure. Il se doit d’avoir une attitude éthique (réinscription contextuelle) « à la hauteur du mal vécu du patient ». Réflexions très intéressantes, illustrée par l’évocation de l’affaire de Loudun, sur l’expérience troublante, bouleversante du thérapeute face au psychotique ou au patient traumatisé.